tu demandais hier
mon avis sur le bonheur
l'air de rien voilà que tu t'inquiètes
la paix te ferait donc peur
je l'attise cet amour
les brindillent volètent
tu n'y vois que du feu
c'est sa vie secrète
pourtant...pourtant...pourtant
les mots sont, les mots font, le mots disent
les mots coulent, les mots roulent sur un fil
moi, je laisse ces microbes, ces missile
saux bavards, aux poètes si possible
oh...comme je t'aime quand tu t'expliques
c'est drôle mais...j'ai rangé les modes et les recettes
incendié la boîte, mon coeur
de ce petit sacrifice me reste
un vertige, une chaleur
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